Monet + Associés, en pleine croissance avec le développement du groupe Ceetadel, structure ses process avec Furious depuis quelques années.
C’est dans ce cadre et afin de décortiquer les secrets de cette croissance fulgurante que nous nous sommes entretenus avec Amaury Bataille, Directeur Général. Enjeux du secteur, utilisation de Furious au sein de leur groupe et des business units sont (entre autres) au programme de cette interview.
Pouvez-vous vous présenter Amaury ?
Je m’appelle Amaury Bataille et je bosse chez Monet + Associés depuis maintenant quasiment 7 ans comme directeur général pour structurer et développer la boîte.
Monet + Associés - vous faites quoi, vous êtes qui ?
L’agence Monet est une agence qui a été créée et reprise par Julien Monnet il y a une quinzaine d’années. Elle était auparavant spécialisée en relation média, puis a intégré au fur et à mesure du temps d’autres expertises telles que la gestion des réseaux sociaux, la gestion de l’influence… Aujourd’hui nous faisons partie d’un groupe qu’on est en train de monter qui s’appelle Ceetadel, qui comprend notamment deux filiales : une sur la partie achat média : Allmatik, et une sur la partie création de site internet et marketing agency qui s’appelle Smartfire.
Comment êtes-vous organisés ?
On est organisés aujourd’hui par Business Units. On a donc dans le groupe Monet des experts par branche. On a de la créa, on a de la gestion des relations publiques, gestion des réseaux sociaux, gestion de l’influence, gestion des achats médias, programmatiques et gestion de la création de sites internet.
Quels sont vos grands enjeux aujourd’hui ?
Monet a plusieurs enjeux : le premier c’est qu’on est en train comme je le disais de créer un groupe, donc d’agréger les différentes expertises et de faire que les gens travaillent ensemble et utilisent des outils communs.
Nous avons donc par rapport à ça un enjeu de croissance et ceci sur 2 parties : de la croissance externe, l’intégration à la fois d’agences qui ont une expertise similaire qu’on va pouvoir développer ou d’agences qui ont des expertises un petit peu ad hoc qu’on va pouvoir agréger.
Et nous avons bien sûr un enjeu, comme la plupart de nos de nos concurrents, de rétention et de croissance interne des équipes.
Mais se développer c’est aussi pouvoir garder ces équipes, et garder surtout les meilleurs car ce sont eux qui font la croissance de l’entreprise.
Depuis quand utilisez-vous Furious ?
Nous utilisons Furious depuis maintenant un peu plus de deux ans (depuis 2021 ndlr).
Nous sommes passés sur Furious lorsque l’on faisait un peu plus de 6 millions d’euros de chiffre d’affaires, avec la vocation de se dire « ça y est c’est le moment d’accélérer, il nous faut un outil qui va nous permettre de piloter notre business et de suivre notre croissance ».
Depuis que l’on a installé Furious, on a doublé notre chiffre d’affaires en deux ans. Ce n’est pas uniquement grâce à Furious mais en tout cas, ça nous permet aujourd’hui de piloter notre business et surtout de faire que les gens travaillent ensemble.
Les gens voient ce qui se fait, on gagne vraiment en fluidité.
Je pense que l’on ne serait pas capable de piloter notre business aujourd’hui aussi finement si l’on n’avait pas un outil comme Furious qui correspond complètement à nos besoins.
Déjà, ça nous permet de pouvoir gérer notre business, de pouvoir gérer un large scope : de la facturation à l’ensemble du flux CRM, l’ensemble de la gestion de nos achats.
Ces optimisations là nous permettent d’absorber la croissance sereinement.
Quel est le KPI incontournable que vous suivez ?
Si je devais choisir, je dirais que clairement aujourd’hui on ne pourrait plus se passer de notre estimation de marge brute.
Pour vous donner un exemple, c’est vraiment un indicateur que l’on suit quasiment quotidiennement avec Julien, notre président.
La problématique que j’ai, et ça va vous faire sourire, mais quand on arrive en fin de mois et qu’on n’a pas facturé 100 % du mois, parce qu’il manque un bon de commande pour X/Y raisons et que de fait on arrive le 1er mai par exemple, eh bien le chiffre d’affaires qui est positionné sur le 30 avril n’apparaît plus dans les tableaux de bord. On a donc une baisse de notre marge brute estimée qui rend fou mon boss ! Résultat : j’anticipe. Et donc le 30 au soir en général je décale toutes les factures restantes au 1er mai, le lendemain, pour être certain que nos chiffres macros sont à jour.
Vraiment, la gestion de la marge brute est clairement ce qu’on regarde le plus dans Furious.
